J'aime le flou de la nuit contre ta silhouette endormi. J'aime la brûlure du soleil contre ton ombre évaporée. J'aime la caresse du temps sur tes courbes effacées.
J'aime à en damner les Saints. Mais je tais l'aurore sentimentale puisque Juliette s'est enfuie au crépuscule, sous la voilure des vagues palpitantes.Le romantisme fane contre les coeurs-pierraille. La lèvre se scelle. Le rêve s'étiole.
Mais j'aime le parfum disparu de ton cou-fragilité. J'aime la fraîcheur imperceptible de ton regard lointain. J'aime le souffle distillée des tes pensées abandonnées.
J'aime, j'aime, j'aime, dans le silence froissé de la nuit. Et je te glisse ces quelques mots au creux d'un songe, alors que ta paupière lourde tombe,.
Obscurité et cil de velours.
J'aime à en damner les Saints. Mais je tais l'aurore sentimentale puisque Juliette s'est enfuie au crépuscule, sous la voilure des vagues palpitantes.Le romantisme fane contre les coeurs-pierraille. La lèvre se scelle. Le rêve s'étiole.
Mais j'aime le parfum disparu de ton cou-fragilité. J'aime la fraîcheur imperceptible de ton regard lointain. J'aime le souffle distillée des tes pensées abandonnées.
J'aime, j'aime, j'aime, dans le silence froissé de la nuit. Et je te glisse ces quelques mots au creux d'un songe, alors que ta paupière lourde tombe,.
Obscurité et cil de velours.