Sur le pavé fracassé.
J'lance mes jambes
Sur la vie effarouchée.
Paris, Paris, ouvre tes bras
Luxure, presse, jeunesse dépravée.
Paris, Paris offre ton bras
Soie, dentelle et talon brisé.
J'cris, j'ris, j'envie
Les heures qui coulent sur nos visages.
J'écris, j'vis, j'assouvis
Les fantasmes froissées, Seine et rivages.
Certaines heures sont vides. Les visages affluent, pressent et cognent. Une envie vous prend de hurler, et de fuir loin de tout cela. Mais parfois on ne peut échapper. On plante son regard dans les yeux d'un autre en espérant y voir quelque chose.
J'ai peut-être même croisé l'océan.
Le temps manque toujours pour poser des mots sur les absences. Mais qu'y peut-on ? Il parait qu'il faut parfois savoir sacrifier un peu pour se satisfaire. En attendant, le temps file, pied léger, en laissant à peine trace sur le visage fatigué. Seul le coeur se souvient. Mais chut.
A bientôt donc.
J'ai peut-être même croisé l'océan.
Le temps manque toujours pour poser des mots sur les absences. Mais qu'y peut-on ? Il parait qu'il faut parfois savoir sacrifier un peu pour se satisfaire. En attendant, le temps file, pied léger, en laissant à peine trace sur le visage fatigué. Seul le coeur se souvient. Mais chut.
A bientôt donc.
Bravo et merci pour ces mots.
On parle bientôt hein!
Bisous <3