Les révolutions. Celles qui poussent les hommes à glisser de l'ombre à la gloire, effusion de sang et balles. Cela siffle, entre les barricades qui s'écroulent dans le fracas assourdissant de l'Ordre mis à terre. Metternich grince des dents, dans son palais-souveraineté, alors que les Viennois embrassent les Piémontaises, sous l'acclamation des Parisiens.
1848.
En attendant, je note quelques dates, distraite, entre l'oreiller et la couette. La lumière est tendre au sommeil, le sommeil doux à l'oubli. J'avale une dernière bouchée d'Histoire, avec le pain au chocolat du réveil.
2008.
Les choses vont toujours mieux avec du chocolat.